Tout comme la majorité des autres secteurs, l'industrie de la pornographie a connu de véritables problèmes. Et pour cause, la pandémie de la Covid-19 qui a entravé le développement de cette activité. Que savoir à cet effet et que font les divers acteurs pour s'adapter à la nouvelle contrainte ? La suite de cet article nous édifiera plus.
De sérieuses retombées
De nombreux tournages furent reportés et par la suite suspendus. Une baisse exponentielle des revenus est le. Signe majeur de cette situation. En effet, le couvre-feu amplifié par le confinement général empêcha le montage puis la mise sur le marché de nouvelles vidéos. Les divers acteurs sont ainsi contraints à une faillite financière. Les taux d'abonnement escomptés sur les sites Internet appropriés ont littéralement chuté. En outre, les travailleuses qui dépendent des ébats sexuels, qui exercent en solo ou en groupe ont vu leur clientèle les éviter: de quoi respecter la distanciation fixée à un mètre minimum. Bien qu'elles soient actives sur les plates-formes internet, elles reçoivent des revenus faibles justes après des séances de masturbation virtuelle. Face à cette situation, les acteurs ont pris des mesures pour s'y adapter.
Les diverses actions de relancement
En Italie, l'accès au site "pornhub" est rendu gratuit en guise de soutien aux visiteurs pendant ces compliquées temps engendrées par la crise. Bien que compliquée en plein confinement, avec plus de temps à passer en famille, la présence sur les sites de pornos est plus facilitée par des promotions. Plus d'un millier de vidéos de porno de court tout comme de long métrage sont mises sur le marché bien après le climat de méfiance installé par le virus. Preuve la relance, peu à peu effective, dans ce domaine qui génère d'énormes revenus.